Un peu plus de deux ans après le vote de la loi De Croo sur les plateformes collaboratives, environ 40 d’entre elles ont été agréées. Derrière l’idée de réglementer un secteur se cachent notamment une forme de légalisation du travail au noir et un détricotage de toute une série de droits sociaux. Pierre Ledecq, collaborateur de la FEC, fait le tour du sujet dans un récent article de la revue Démocratie.