Historiquement, le community organizing est une forme de «syndicalisme de quartier» qui s’est adressé prioritairement aux populations les plus démunies, aux personnes les plus «éloignées» de la vie politique. Sa méthode offre une riche panoplie d’outils tout terrain qui peuvent constituer une source d’inspiration à l’heure de repenser les mobilisations syndicales.
Jean-François Libotte, collaborateur de la FEC, revient sur les expériences relatées par deux «community organizers», Wade Rathke et Adrien Roux, lors d’un débat organisé en octobre dernier à Bruxelles. Un article paru dans L’Esperluette.